Histoires à deux pianos
- Musique
Jeudi 09 avril 2015
à 20:30
- Renseignements :
- Durée 1h15 + entracte
- Age :
- Ã partir de 7 ans
- Renseignements :
- Compagnie Orchestre des Pays de Savoive
Direction :
Nicolas Chalvin
Solistes :
Lidija et Sanja Bizjak (pianos)
Avec :
les Récitants et les Musiciens de l’Orchestre des Pays de Savoie
Coproduction :
Orchestre des Pays de Savoie et La Rampe – Echirolles
Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes dans le cadre de l’Appel à Projets Spectacle Vivant
Avec le soutien de la Région Rhône-Alpes dans le cadre de l’Appel à Projets Spectacle Vivant
Date(s) | Horaire | Séance | Lieu | Réservation |
Jeudi 09 avril 2015 | 20:30 | Tout Public | Le Dôme Théâtre | Réserver |
Deux pianistes de renom et trente-neuf musiciens de l’Orchestre des Pays de Savoie, qui fête ses 30 ans, jouent un programme contrasté, de Mozart à Saint Saëns.
En ouverture s’insinue une délicate page inspirée à Arthur Honneger par la nature. Cette Pastorale d’été crée l’ambiance idéale pour entrer dans l’intimité de la famille Mozart. Wolfgang dialogue avec sa sœur Nannerl, dans un concerto où la joie de vivre éclate à tout moment, laissant passer des éclairs de malice.
Puis dans l’Amour sorcier de l’Andalou Manuel De Falla, passionné par le monde gitan et ses sortilèges, se frôlent les vieilles légendes, la magie venue d’un pays mystérieux et les peines d’amour…
Pour finir, Saint-Saëns déroule les quatorze tableaux de sa « grande fantaisie zoologique », Le Carnaval des animaux dans lequel le burlesque voisine avec la plus innocente poésie.
En ouverture s’insinue une délicate page inspirée à Arthur Honneger par la nature. Cette Pastorale d’été crée l’ambiance idéale pour entrer dans l’intimité de la famille Mozart. Wolfgang dialogue avec sa sœur Nannerl, dans un concerto où la joie de vivre éclate à tout moment, laissant passer des éclairs de malice.
Puis dans l’Amour sorcier de l’Andalou Manuel De Falla, passionné par le monde gitan et ses sortilèges, se frôlent les vieilles légendes, la magie venue d’un pays mystérieux et les peines d’amour…
Pour finir, Saint-Saëns déroule les quatorze tableaux de sa « grande fantaisie zoologique », Le Carnaval des animaux dans lequel le burlesque voisine avec la plus innocente poésie.
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