BERENICE
- Théâtre
Période(s) d'ouverture
Mardi 15 avril 2025
à 20:00
- Renseignements :
- Durée estimée 2H20
- Age :
- Ã partir de 15 ans
- Accessibilité :
De
Jean Racine
Mise en scène
Jean-René Lemoine
Dramaturgie
Laure Bachelier-Mazon
Scénographie
Christophe Ouvrard
Son
Xavier Jacquot
Lumières
François Menou
Costumes
Clément Desoutter
Avec
Marine Gramond - Bérénice, Jean-Christophe Folly - Titus, Alexandre Gonin - Antiochus, Nicole Dogué - Phénice, Jan Hammenecker - Paulin, Marc Barbé - Arsace, Jean-René Lemoine - Rutile
Assistant mise en scène
David Duverseau
Production déléguée
Maison de la Culture d'Amiens Pôle européen de création et de production
Coproduction
Théâtre National de Bretagne - Centre européen Théâtral et Chorégraphique, Théâtre du Nord, Théâtre de Liège, TANDEM Douai-Arras Scène nationale, Le Trident - Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin, Comédie de Béthune : Théâtre & Centre Dramatique National
Avec la participation artistique
du Jeune théâtre national
Son
Xavier Jacquot
Lumières
François Menou
Costumes
Clément Desoutter
Avec
Marine Gramond - Bérénice, Jean-Christophe Folly - Titus, Alexandre Gonin - Antiochus, Nicole Dogué - Phénice, Jan Hammenecker - Paulin, Marc Barbé - Arsace, Jean-René Lemoine - Rutile
Assistant mise en scène
David Duverseau
Production déléguée
Maison de la Culture d'Amiens Pôle européen de création et de production
Coproduction
Théâtre National de Bretagne - Centre européen Théâtral et Chorégraphique, Théâtre du Nord, Théâtre de Liège, TANDEM Douai-Arras Scène nationale, Le Trident - Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin, Comédie de Béthune : Théâtre & Centre Dramatique National
Avec la participation artistique
du Jeune théâtre national
Date(s) | Horaire | Séance | Lieu | Réservation |
Mardi 15 avril 2025 | 20:00 | Tout Public | Le Dôme Théâtre | Réserver |
« Ce qu’il y a de fort et d’unique dans Bérénice, c’est qu’il ne s’y passe rien. Il n’y a pas d’action. Il y a une trame immobile ou plutôt agitée par des ouragans souterrains dont on perçoit les infimes et monstrueux soubresauts. C’est cela que j’ai envie de creuser : le vertige du langage qui avance – répétitif, furieux et doux – , vers une transe froide, une extase de la douleur. Et qui s’éteint, comme asphyxié, avec le « Hélas » qui clôt la pièce. Ce langage contient tout : la réclusion, l’humiliation, l’attente-délire de Bérénice. Les allers-retours profanateurs de Titus. L’abnégation-martyre d’Antiochus. Mettre en scène Bérénice, c’est aller jusqu’à l’os de la parole, fouiller, par le langage (et aussi par ce que le langage provoque dans le corps) les ruines de l’amour. »
Jean-René Lemoine
Jean-René Lemoine a un rapport à Racine qui remonte à l’adolescence. Il s’appuie sur une distribution d’acteurs incandescents et rigoureux pour se faire le messager du dramaturge dans un espace sublimé par une scénographie originale.
CRÉATION EN JANVIER 2025
Jean-René Lemoine
Jean-René Lemoine a un rapport à Racine qui remonte à l’adolescence. Il s’appuie sur une distribution d’acteurs incandescents et rigoureux pour se faire le messager du dramaturge dans un espace sublimé par une scénographie originale.
CRÉATION EN JANVIER 2025